Nous sommes bientôt en 2018 et les Masters ciblés sur le numérique émergent à peine. Mais qu’attendait-on?

Choisir ce Master était pour moi comme une évidence car une solution aux besoins juridiques de plus en plus spécifiques des entreprises en matière de numérique.

Une évidence également car fortement orienté « protection des données à caractère personnel » soit un besoin plus que grandissant (même si les entreprises ne s’en rendent pas toutes encore compte), et un choix personnel de carrière.

Au-delà des projections, c’est également un choix de raison avec lequel je savais n’avoir rien à perdre, comme miser « au pire » autant sur les rouges que sur les noirs à la roulette.

L’avantage d’être dans un parcours affairiste offrant, sinon des connaisses poussées, au moins une franche ouverture d’esprit à l’informatique (si ce terme signifie encore quelque chose) et plus précisément sur la « sécurité informatique ». Un pendant à creuser encore selon moi, de sorte que les étudiants sans « culture informatique » propre ressortent également avec un bagage opérationnel en la matière.

Coté emploi, j’ai trouvé un premier poste « données personnelles en CDD une semaine après mon stage de fin d’études. J’ai ensuite été débauché un an plus tard, pour un poste similaire. A noter que ceci a eu lieu à Toulouse et avant le grand boum des « recrutements RGPD »: les futurs étudiants n’ont pas de soucis à se faire.

 

Andréa Martelletti